Parce que tout a une fin

Oui, ça fait triste comme titre, mais que voulez-vous, c’est pourtant la dure réalité : même les rêves se terminent un jour.

Le retour s’est fait sous la pluie, en tout cas pour aller jusqu’à l’aéroport de Tokyo Narita, cette fois-ci en voiture (et ça fait bizarre d’être un passager du côté gauche par rapport aux voitures françaises). Une bonne heure d’attente m’attendait au terminal, et comme il me restait des yens, autant en profiter pour manger, car j’avais faim.

Le vol du retour s’est aussi bien passé qu’à l’aller, avec quelques différences, bien ou non :

  • Contrairement à l’aller, l’avion possédait plus de toilettes, ce qui évitait d’attendre (le premier, on était toujours deux ou trois, alors que celui-là avait presque un étage entier).
  • Mon écran de télévision proposait la langue française pour certains films, mais celle-ci n’était pas installée sur le support. Même le couple allemand qui était assis derrière moi ne pouvait pas regarder les films en allemand (alors que la compagnie Lufthansa est allemande). Il a donc fallu que les stewards redémarrent le système qui nous permet de regarder des contenus multimédias sur nos écrans. On a fait attendre tous les passagers de classe économique ! Je suis trop fort. J’ai d’ailleurs pris des photos du système d’exploitation au démarrage, car j’avais l’impression d’être sous MS Dos à ce moment-là. Bref, presque 30 minutes sans écrans dans un avion, c’est pas top. Mais bon, y a toujours le magnifique ciel bleu (car oui, au dessus des nuages, il fait beau !).
  • Je n’avais personne à côté de moi ! Et ça rend le voyage un peu plus confortable d’avoir deux sièges pour soit !
  • J’ai pu filmer le décollage, sous la pluie, mais bon, j’avais le même temps pour l’aller, donc ça ne change rien.

Arrivé à Munich, trois heures d’escale à passer. Et le temps, il passe lentement. Mais comme on est dans un aéroport, il doit bien y avoir un accès à internet via le wifi, non ? J’ai eu de la chance d’en avoir un à ma porte d’embarquement pour Lyon, où j’ai d’ailleurs eu de la chance car mon billet m’indiquait la mauvaise porte. Mais ce qui est drôle, c’est de voir tous les japonais qui te suivent en pensant que tu vas dans leur direction alors que… pas du tout en fait. Du coup ça provoque un rire général de tous les passagers de l’avion dans lequel nous étions.

Et comment qu’on fait pour recharger son smartphone dans un aéroport ? Parce que c’est bien gentil de mettre à disposition des voyageurs des bancs pour s’asseoir, mais il faudrait aussi penser à mettre des prises de courant à proximité. Parce que dans les terminaux, il n’y en a pas (en tout cas dans celui où j’étais). Mais coup de chance, les toilettes en son très bien équipés. J’ai donc rechargés mon smartphone là où certains vont se raser la barbe. Idiot, mais utile.

Le vol Munich jusqu’à Lyon s’est fait tranquillement (et je ne vous détaillerai pas le jeune homme un peu bourré qui faisait partit des passagers), et contrairement aux autres avions, j’étais tellement fatigué que je me suis endormis tout de suite après le dîner.

Arrivé à Saint Exupéry, il faut maintenant que j’arrive à retrouver ma famille qui est venue me chercher en voiture, car un aéroport, c’est grand.  Et celui de Lyon, il n’est pas super bien organisé. Enfin, je suis rentré en un seul morceau.

QUAND EST-CE QUE JE PEUX RETOURNER LÀ BAS ?

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