Samedi 24 août : THE grosse journée

Deux étapes importantes dans Tokyo ce jour – là : L’hôtel de ville de Tokyo situé à Shinjuku, qui offre gratuitement une vue incroyable sur la capitale du haut de ses deux tours (ce même endroit où des tokyoïtes se sont rassemblés en apprenant leur victoire pour la candidature des JO), et la matsuri de Koenji le soir (où je suis finalement retourné le lendemain car la matsuri, ou fête en français, continuait tout le week end).

L’hôtel de ville de la capitale est donc constitué de deux tours jumelles, et se trouve dans un quartier d’affaires assez sympa à visiter. Chaque tour possède à son dernier étage (même si au dessus, on trouve les antennes et ce qui sert à la communication) un point de vue panoramique sur la ville. Bien que le ciel était couvert ce jour – là, c’est un vrai plaisir que de contempler la vue !

Je ne vous étale pas toutes les photos car il y en a plus de 50…

Tout d’abord, l’hôtel de ville :

Et maintenant, quelques photos prises d’en haut :

Avec une vue sur la Tokyo SkyTree :

Puis une vue sur la (plus petite) Tokyo Tower :

Et enfin sur le parc de Yoyogi :

Je suis redescendu aux alentours de 16 h 15, car ensuite, direction THE GREAT MATSURI à Koenji, pour quelques heures.

Et il n’y a pas à dire, ça vaut le coup d’œil (et des oreilles = aoutch)

Ha oui, qui dit matsuri dit japonais(es) en yukata / kimono, donc il n’y a pas meilleur moment (sauf si on va dans une ville typique) pour photographier les japonais dans ces tenues.

Plusieurs communes de plusieurs endroits du pays défilent, il n’y a pas que Tokyo.

Rappel : vous ne voyez qu’une infime partie des photos (je vais avoir un tri énorme à faire au retour, car plus de 40 Go à trier).

Cette soirée c’est donc terminé par un petit repas bien sympa dans un petit restaurant (avec une petite table), ou plutôt dans la ruelle du restaurant.

Car oui, ce soir là, comme il y a beaucoup de monde, les restaurants mettent aussi des tables dehors (ou plutôt une planche sur un empilement de caisses), car les voitures ne passent pas de toute façon.

Et surprise : la serveuse parle français ! (elle suit des cours à l’université Sophia, l’une des université les plus côté du Japon)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *