Bienvenue en enfer, et au paradis : Dôme G

Bon, c’est sûr que c’est choquant comme titre, mais ça résume bien ce qu’est devenu cette ville : elle vous fait vivre l’enfer de ce que cause une bombe atomique, et elle est aujourd’hui un symbole de paix mondiale.

Je n’aurai pas beaucoup de photos à vous montrer, d’une part car j’avais prévu de sauvegarder sur internet mes photos de Kyoto la veille à au Ryokan (il indiquait un point wifi, mais ce ne fût pas le cas), d’autre part car mes cartes mémoires étaient du coup toutes pleines.

Et donc, réveille à 07 heures du matin. Et même si la ville paraît grande, le trajet pour aller au point d’impact est plutôt rapide : seulement 20 minutes à pied !

Et arrivé au dôme G… ben on a envie de pleurer. Et même si j’ai réussi à me retenir au départ, au final, la plupart des visiteurs (locaux ou étrangers) finissent par pleurer dans le musée.

D’avance désolé pour la qualité des photos, certaines ont malheureusement (pas beaucoup en fait) été oubliées sur l’ordinateur que j’utilisais au Japon, et celles que je vous montre sont des panoramas faites avec mon smartphone (donc pas de superbe qualité).

Le Dôme Genbaku :

Le mémorial de la paix :

Il contient une description dans plusieurs langues (dont le français) et sous la sculpture est rangée dans un coffre un livre où sont recensées toutes les personnes décédée à cause de la bombe atomique.

Direction ensuite le musée d’Hiroshima, qui traite bien évidemment du jour en question. Ce dernier est traduit dans toutes les langues les plus parlées (que ce soit le français, l’arabe, l’allemand, etc… il y a plus de 20 langues), et il est interdit de filmer ou de prendre des photos. Et ici, la règle est respectée… ou presque (mais les dérogations sont très rares, je n’ai vu qu’un seul japonais prendre une seule photo de la fameuse montre qui s’est arrêtée au moment de l’impact).

Après une pause repas, je vais donc visiter le château de la ville. Mais avant, je m’arrête devant le temple.

Je n’ai pas retrouvé la photo du château, mais pour vous donner une idée (comme il a été détruit lors du bombardement et reconstruit en béton), il est beaucoup moins joli à regarder de l’extérieur que les autres châteaux que j’ai vu.

Je repars ensuite pour Tokyo, car le trajet est long (au moins 4 heures).

Tokyo : me revoila !

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