La dernière partie d’un coin de paradis

Oui, c’est moche de dire que c’est « la dernière partie ». Mais que voulez-vous, c’est presque la fin de mon séjour au Japon. Et comme c’est une étape que je souhaite vraiment faire, et bien je l’ai fais, et j’en suis plus que ravi !

Pour cette toute dernière étape, direction la fameuse île d’Odaiba, parce que même s’il y a pas mal de « monuments » à voir absolument sur cette grande île artificielle, il y en a surtout un que je tiens absolument à voir : la « maquette » grandeur nature d’une des plus célèbres armures mobiles de la saga Mobile Suit Gundam : le RX-78-2.

Après un peu plus d’une heure de trajet (souterrain et aérien), j’arrive donc sur la fameuse île que l’on peu d’ailleurs découvrir simplement en faisant le tour grâce au transport hectométrique (j’ai écris aérien car il est en l’air, logique).

J’ai donc fais le tour de la fameuse île, en découvrant notamment une autre statue de la liberté, ainsi qu’une flamme de la paix offerte par la France, et une grande roue… vraiment très grande.

Mais ma priorité était de voir l’armure mobile, donc c’est ce que j’ai cherché, tout en continuant à visiter ce superbe endroit. Et quand on la trouve, et bien on se sent, comment dirai-je… tout petit, vraiment petit…

Et non, on ne peut ni la toucher, ni grimper dedans. Par contre, quand il fait nuit, l’armure s’allume.

Bon, et avant de passer à la suite, je vais vous montrer ce que j’ai pu voir avant ce robot géant.

On commence donc par la statue de la liberté :

On continu avec juste derrière, le pont « Rainbow Bridge » :

S’en suit la fameuse flamme de la paix :

Donc, après avoir été en admiration devant le Gundam, je suis allé faire un petit tour du côté du Gundam Café (car oui, il y en a un sur l’île, et un autre à Akihabara) afin de faire mes « courses Gundam ». Après trois achats, j’ai donc eu la bonne initiative de demander au vendeur où je pouvais acheter les figurines de la série Gundam Wing (de toute façon, je ne pouvais pas acheter beaucoup de figurine, parce qu’il y a toujours le soucis des bagages), et il m’a passé un plan qui montre clairement qu’il faut monter en haut du plaza, au septième étage (le même bâtiment), où se trouve… (roulement de tambours) le fameux musée Gundam ! Et autant vous dire que quand on connait la saga, ben on ne passe pas juste 15 minutes dedans.

Le film vous détaillera tout ça, mais pour résumer, le musée expose chaque exemplaire d’armure mobile sortie officiellement par la marque japonaise (et même des figurines rigolotes). Donc autant vous dire qu’il y en a des centaines, voir des milliers (parce que je n’ai pas eu le temps de compter…).

Ensuite, divers « attractions » sont proposées gratuitement aux visiteurs (parce que bon, plus de trente ans d’existence et un succès toujours grandissant, et bien ça leur fait des sous, au moins cinquante milliard de yens annuel). On peut même monter dans une seconde armure (presque de taille réelle, mais seule la partie haute est présente) en payant une dizaine d’euros afin de se mettre dans la peau des pilotes.

Puis, une autre salle, elle aussi payante (mais pas chère), en forme de dôme, vous propose de voir un épisode inédit de la saga (Gundam Destiny si je ne me trompe) qui n’ai apparemment pas diffusé à la TV, en japonais bien sûr.

Et enfin, pour terminer, une grande salle d’exposition fait découvrir aux visiteurs (il  n’y a pas beaucoup d’étrangers en fait) les détails sur tous les grands personnages de la saga, leur armures, ainsi que les différentes étapes utilisées pour dessiner les mangas et animes.

En tout cas, c’est incroyable !

Après, puisqu’il faut bien se nourrir (parce que j’ai bien dû consacrer quatre heures a Gundam, je suis aller manger au restaurant situé en bas du plaza. Et le cuisinier est le Michael Schumaker de la cuisine (ce n’est pas un quatre étoiles, mais quand on voit la vitesse à laquelle il fait les repas, c’est impressionnant).

Pour le reste de la journée, je suis allé voir une grande salle de jeux (arcade, rôles, etc…, et même des jeux qu’on trouve chez nous), et ensuite, direction la grande roue !

Bon, selon moi, elle est plus grande que celle de Lyon (mais pas sûr). Par contre, contrairement à celle située place Bellecourt, on n’en fait pas le tour en cinq minutes, mais en 15. Au moins, on a le temps de prendre plein de photos (surtout que j’avais un super soleil !). Et un petit conseil si vous prévoyez de la faire un jour : cela vous coûte moins cher de monter dedans à quatre que tout seul.

Et j’ai bien sûr refais un second tour de l’île le soir afin de profiter du couché du soleil et reprendre quelques photos. D’ailleurs, Tout comme le font les autres grandes roues que j’ai vu au Japon (notamment celle de Yokohama), celle-ci s’éclaire de différents effets le soir, et c’est très beau à voir.

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