On fait les courses (Partie 2)

Mais avant de faire les courses, car c’est ce que j’ai fais une fois de plus le lendemain, on retourne rapidement au quartier des « jeunes », pour deux longues bonnes heures, et on va aller s’adonner à une activité qui je suis sûr, envierait mes proches : jouer sur les fameuses bornes d’arcades japonaises. Mais autant vous prévenir : on ne teste pas grand chose en si peu de temps (car il y a des centaines de jeux sur bornes).

J’ai donc testé seulement deux jeux (bien que j’aurai aimé tenté Sonic, je n’ai trouvé aucune borne d’arcade le proposant) très connu au Japon (en France, l’un est très connu alors que l’autre l’est moyennement) et que j’adore :

  • Mobile Suit Gundam (toutes versions confondue) : mecha japonais, ou plus communément appelé en français Armures Mobiles Gundam, robot de 18 mètres de hauteur en moyenne, encore mieux armés que dans Star Wars.
  • Initial D (pareillement) : courses de voitures sous forme de drift (maîtrise du dérapage dans les tournants, dans lequel la voiture peu presque se retrouver perpendiculaire à l’axe de la route).

Et les bornes d’arcades, ce n’est pas forcément une manette et un écran. Rien que pour tester les simulateurs Gundams, on entre dans des sortes de capsules géantes d’un peu plus d’un mètre de hauteur (qui rappel les « œufs » utilisés pour monter au Brévent de Chamonix), et autant l’interface que les manettes se rapprochent beaucoup du concept du manga et de l’anime.

À 100 yens la partie, autant vous dire que ce n’est pas cher ! (parce qu’une partie durer au moins trois à cinq minutes sur les bornes que j’ai fais)

Ensuite, vers onze heures du matin, on reprend le métro, direction Asakusa, où je vais faire des courses un peu plus… culturel, si je puis dire ainsi. Et avec tout ce qui se vend à cet endroit (dont vous avez vu des photos au début de mon séjour), il y en a bien pour une journée afin de choisir quoi ramener chez soit, et surtout, qui passera les douanes. Parce qu’autant vous dire que j’étais tenté de ramener un katana, mais il semblerait que ce ne soit pas une tâche facile. J’ai donc tout de suite abandonné cette idée.

J’ai donc acheter des « kits » de baguettes japonaises, avec des motifs tout aussi ravissants les uns que les autres, ainsi que des cartes postales, des vêtements, et quelques produits bien mignons tous « made in Japan » et surtout, un kimono (pas un vrai traditionnel, car les prix peuvent aller de 10 € à quelques milliers). Parce que dévaliser les boutiques, c’est bien, mais il faut aussi se rappeler qu’il faut que ça tienne dans les bagages, et respecter le poids maximal autorisé par la compagnie aérienne.

PS : Les photos viendront plus tard

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