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Posts by Cydroine
J’étais déjà allé une fois à la Japan Touch de Lyon en novembre 2011, et j’avais été un peu déçu par la petite taille de cette convention japonaise et geek pour une ville comme Lyon. Certes, j’avais vu de jolies cosplayeuses, mais j’avais été vraiment déçu par le peu de culture japonaise présente à ce moment-là. Et c’est vrai qu’à part des stand d’amateurs et de commerçants, il n’y avait pas grand chose d’intéressant (à part les Noob).
Affiche de la convention
Ce voyage est donc terminé (même si je termine de vous écrire ce récit avec quelques mois de retard), mais inoubliable.
Je tiens donc à adresser un très grand merci aux membres de ma famille qui m’ont permis de réaliser ce rêve que j’avais depuis quelques années déjà, ainsi qu’à ma famille éloignée pour m’avoir hébergés à Tokyo !
J’espère bien retourner là-bas au moins une fois, et faire également deux grandes villes de Chine : Shangaï et Hong Kong. La Corée (je pense à Séoul), ce sera plus tard.
Ensuite, si vous observez les dates de parution d’une grande partie des articles narrant mon voyage au Japon, vous verrez que je les ai tous publiés aujourd’hui (lundi 14 avril 2014). Ça fait tard, oui. Mais j’avais d’autres choses à faire, et je vais bientôt pouvoir me libérer et consacrer un peu plus de temps à ma passion pour le Japon.
Et l’autre raison qui fait que j’ai fais un copier / coller de mon blog personnel (qui détails mieux mon aventure) en modifiant certains aspect personnels (le copier / coller n’était prévu qu’à moitié, mais la modification des articles sur un aspect personnel était bien prévu), c’est parce que dimanche 13 avril, j’étais au Double Mixte de Lyon où se déroulait la Japan Touch Haru 2014 (Haru = Printemps), première édition printanière de la Japan Touch, convention asiatique et geek qui se déroule habituellement début novembre. Du coup, il faut que je mette en ligne les photos que j’ai prise et les vidéos, et que je vous en parle.
Oui, ça fait triste comme titre, mais que voulez-vous, c’est pourtant la dure réalité : même les rêves se terminent un jour.
Le retour s’est fait sous la pluie, en tout cas pour aller jusqu’à l’aéroport de Tokyo Narita, cette fois-ci en voiture (et ça fait bizarre d’être un passager du côté gauche par rapport aux voitures françaises). Une bonne heure d’attente m’attendait au terminal, et comme il me restait des yens, autant en profiter pour manger, car j’avais faim.
Le vol du retour s’est aussi bien passé qu’à l’aller, avec quelques différences, bien ou non :
Arrivé à Munich, trois heures d’escale à passer. Et le temps, il passe lentement. Mais comme on est dans un aéroport, il doit bien y avoir un accès à internet via le wifi, non ? J’ai eu de la chance d’en avoir un à ma porte d’embarquement pour Lyon, où j’ai d’ailleurs eu de la chance car mon billet m’indiquait la mauvaise porte. Mais ce qui est drôle, c’est de voir tous les japonais qui te suivent en pensant que tu vas dans leur direction alors que… pas du tout en fait. Du coup ça provoque un rire général de tous les passagers de l’avion dans lequel nous étions.
Et comment qu’on fait pour recharger son smartphone dans un aéroport ? Parce que c’est bien gentil de mettre à disposition des voyageurs des bancs pour s’asseoir, mais il faudrait aussi penser à mettre des prises de courant à proximité. Parce que dans les terminaux, il n’y en a pas (en tout cas dans celui où j’étais). Mais coup de chance, les toilettes en son très bien équipés. J’ai donc rechargés mon smartphone là où certains vont se raser la barbe. Idiot, mais utile.
Le vol Munich jusqu’à Lyon s’est fait tranquillement (et je ne vous détaillerai pas le jeune homme un peu bourré qui faisait partit des passagers), et contrairement aux autres avions, j’étais tellement fatigué que je me suis endormis tout de suite après le dîner.
Arrivé à Saint Exupéry, il faut maintenant que j’arrive à retrouver ma famille qui est venue me chercher en voiture, car un aéroport, c’est grand. Et celui de Lyon, il n’est pas super bien organisé. Enfin, je suis rentré en un seul morceau.
…
QUAND EST-CE QUE JE PEUX RETOURNER LÀ BAS ?
Le soir (le même jour que le précédent article), comme il me reste du temps, je décide d’aller voir un endroit particulier de la capitale. Pas pour ses très nombreux commerces, mais pour son point central : le fameux carrefour de Shibuya, le plus emprunté du monde (plus de 15 millions de personnes l’utilise chaque jour) !
Je vous rassure, c’est loin d’être l’heure de pointe sur la photo.
Le soir, un dernier petit tout de la ville avant mon retour en France.
Il y avait deux endroits que je voulais faire dans ce quartier. Pas très important par rapport à l’ensemble de mon voyage, mais tout de même.
L’une d’entre elle était d’aller manger au Gundam Café (parce qu’en fait c’est plus un restaurant), parce que j’avais vu quelques photos de l’endroit sur internet, et que j’étais curieux de voir cet endroit qui a été bâti pour célébrer les 30 ans de la licence de Bandaï. J’ai donc été prendre mon déjeuner dans cet endroit sympathique. Un écran diffuse des publicités en rapport avec le manga à longueur de journée. Ils ont de la créativité : les repas essaye de reprendre les designs des têtes des robots.
L’autre consistait à assister à une représentation théâtrale des AKB48. Manque de chance (mais ça c’était presque obligé), les réservation pour ça sont complètes en général plusieurs semaines à l’avance (voir des mois), et le fait d’avoir tenté de réserver quatre mois à l’avance (avec un rappel chaque mois avant mon départ) n’a rien changé, même en utilisant leur formulaire réservé au « Super Empou » (Super longue distance catégorie, pour les étrangers). J’ai donc assisté pendant deux heures à une représentation diffusé sur un écran, juste devant l’entrée du théâtre. Ça vaut tout de même le coup et c’est sympa.
